Juste envie de claquer la porte,
Aux autres,
À l’ennui,
À l’ennui des autres,
Juste envie de suivre la lumière de mes rêves.
Michaël Overberg
© All Rights Reserved
Le cancer des libertés
Mon esprit reste à l’affût,
Dans cet univers sauvage,
Ma plume se fait orage,
Tel un discret haret griffu.
J’affûte mes mots en arme,
Dans la jungle de vos tourments,
Mon cœur sent un écoulement,
D’un acide qui se larme.
Telle une lame affûtée,
Prête à déchirer vos psychés,
En pensées de simples clichés,
Qui doivent être réfutées.
C’est votre faute, homme
Si je suis devenu féral
Votre folie viscérale.
Est un vil méningiome.
Qui métastase la raison,
Votre morale tumorales,
Tue nos libertés totales,
Vos dires sont de déraison.
C’est bien pour ça que je reste,
A l’affût de la vérité,
Qui se tapisse en mérité,
Dans les livres manifestes.
Michaël Overberg
© All Rights Reserved
Juste l’humanité
En rêve, je me perds
D’une humanité,
Ou riche lumière,
Serait dans le cœur,
Sans plus nulle guerre,
Sans nulle divinité,
Juste coutumière,
De l’amour en chœur.
Michaël Overberg
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La force tranquille, 7 mois et demi, tu as déjà tout compris mon p'tit gars, certains hommes ne l'acquerront jamais.
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Avant le néant
Entre les deux le présent
Après le néant
La vie ne dure qu’un temps
Le bonheur est dans l’instant.
Michaël Overberg
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