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L’industrie à Orléans, 1650-1950, exposition temporaire présentée à Collégiale Saint-Pierre-le-Puellier et proposée par la Ville d’Orléans du 29 octobre au 31 décembre 2011.

Depuis 2009, la Mairie d’Orléans organise chaque année dans le cadre du Label VILLE D'ART ET D'HISTOIRE une exposition patrimoniale consacrée à un sujet emblématique de son passé.

Accompagnée d’un catalogue et d’un circuit patrimonial en ville, l’exposition aborde sur trois siècles les domaines phares de l’INDUSTRIE ORLEANAISE dans les secteurs de l’alimentation, du textile, du cuir, de la métallurgie, de la mécanique, de l’électroménager et des tabacs. Elle relate comment Orléans bénéficia d’une industrialisation souple et diverse qui chercha à se renouveler et s’adapter aux mutations économiques.

Le rôle de la LOIRE, la proximité de PARIS, le dynamisme de ses raffineries du sucre de canne ont fait d’ORLEANS une des villes les plus riches du royaume aux 17e et 18e siècles. Après un déclin économique en raison de la fin du trafic fluvial dans la seconde moitié du 19e siècle, un renouveau industriel voit le jour avec notamment les vinaigreries, chocolateries, brasseries et conserveries, mais également avec la fonderie des cloches, le machinisme agricole, ou encore l’industrie
automobile représentée par l’usine Delaugère & Clayette, passant des voitures hippomobiles aux véhicules motorisés dans les années 1898-1926.

Tags:   l'ndustrie à orléans industrie orléans industrialisation histoire exposition patrimoine ville art économie 17e siècle 18e siècle fluvial machinisme renouveau industriel histoire d'orléans

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SÉRIE "Laissez-vous conter l'INDUSTRIE à Orléans de 1650 à 1950"
Cette voiture de luxe, Delaugère & Clayette, modèle "Double-Phaéton - type 4M" année 1911, exemplaire unique, est l'une des 24 voitures de la marque orléanaise recensées dans le monde, reconnaissable au logo représentant Jeanne d'Arc.

Ses caractéristiques :
Chassis 14 HP, 4 cylindres monobloc
Transmission à cardan
Chassis en tôle emboutie, très rétréci à l'avant
Moteur à soupapes commandées, cylindre monobloc
Commande des soupapes renfermées
Carburateur automatique breveté
Allumage par magnéto à haute tension
Refroidissement par thermo-siphon
Boîte à 3 vitesses et marche arrière par deux baladeurs
Prise directe en 3ème vitesse
Frein à pédale et freins de roues réglables à la main très facilement
Alésage 85 m/m, course 12 m/m

Pour découvrir l'histoire de l'automobile prestigieuse orléanaise :
www.orleans.fr/orleans/hier/histoire-locale/delaugere-et-...
pasdelaugere.cabanova.fr/
jeandemeung.over-blog.com/article-delaugere-et-clayette-5...
www.auction.fr/FR/vente_automobiles_et_vehicules_de_colle...
www.histomobile.com/dvd_histomobile/fr/521/history.htm

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SÉRIE "Laissez-vous conter l'INDUSTRIE à Orléans de 1650 à 1950"

Découvrez l'histoire prestigieuse de l'automobile orléanaise :
www.orleans.fr/orleans/hier/histoire-locale/delaugere-et-...
pasdelaugere.cabanova.fr/
jeandemeung.over-blog.com/article-delaugere-et-clayette-5...
www.auction.fr/FR/vente_automobiles_et_vehicules_de_colle...
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J'ai photographié la Gravure d'après un dessin de Jacques Pierre François Salmon (Orléans 1781 - 1855) - admirez en agrandissant la photo.
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Au pied des quais, une accumulation d'embarcations de toute nature encombrent un port essentiellement voué à l'arrivée de produits venus de Nantes.
Donnant sur les quais, un nouveau bâti, majestueux et monumental, construit en lieu et place de l'ancien rempart, abrite les bureaux et entrepôts des négociants.

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Vue de la filature prise du coté de la Motte Sanguin (1815).
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Ce bâtiment percé de 365 fenêtres ordonnancées et mises en travées. Cette 1ère usine mécanisée utilise des machines innovantes et l'eau du fleuve qui remonte grâce à une pompe à eau.

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