Surveiller et punir,
Oh Michel quel est mon crime,
Je veux juste être libre,
Me tenir en équilibre,
Dans ce monde qui m’opprime.
Quoi que je fasse sur terre,
L’œil du pouvoir me surveille,
Pour me soustraire du soleil,
Aux lumières salutaires.
Mon crime est de ne pas plier,
De ne plus me perdre, usé,
Dans vos règles désabusées,
Ma raison est mon bouclier.
À quoi bon, homme me punir,
De vouloir là, être libre…
Je n’ai qu’une vie qui vibre,
Rien qu’une seule pour désir.
Je n’ai rien fait monsieur Foucault,
Surveiller et punir ici...
Sont les in pace des esprits,
Qui s’envolent toujours plus haut.
Les êtres qui sont tel l’oiseau,
Sont enfermés dans des cages,
Il faut tenir le bocage,
Où le pouvoir me fait vassaux,
Michaël Overberg
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